Pz 114

Un chien aboie un coq chante
Un village est habité dans le flou du lointain
Ses fumées le précèdent
Nos préjugés nous tueront peut-être
Au fond de la ruelle mon seuil
N’invite aucun chaos
Dans ma chambre vide je me repose
Je suis resté en cage longtemps
Une araignée appréciait ma musique
Je retourne à la libre nature