TT 115 Chérémon

A la clarté lunaire de la tunique ouverte
Jaillissait un petit sein blanc
La robe dégrafée sur la hanche de gauche
Révélait sa nudité et allumait sa chair blanche
Sa jambe dénudée où l’amour
Brillait comme un espoir en une chair fleurie
Elles étaient toutes ainsi
Dormant elles froissaient les violettes
Et le safran dont l’ombre jaune
Se reflète jusque dans les manteaux
La rosée gonfle la marjolaine
Dans les molles prairies
Pour les Bacchantes