Je ne veux point parler ici des conséquences fâcheuses de la station assise sur nos organismes.
Au contraire, depuis que je suis « tamaloù », je cherche un fauteuil ou mes vieux os reposeraient dans une paix relative. J’ai essayé le fameux stressless à la dénomination fallacieuse, le fauteuil Voltaire trouvé dans un vide-greniers pour (presque) rien et j’ai enfin trouvé l’élu (ci-dessus), copie d’un célèbre designer. J’y coulais des heures heureuses jusqu’à ce que mon chat y prenne ses quartiers 24h sur 24
Juste le temps d’enlever les poils, d’aller les jeter et le revoilà. Recroquevillée sur le stressless, je regarde mon fauteuil-cygne avec amour et je m’interroge sur les dangers du consumérisme et l’étrange savoir des chats.