J’ai beaucoup aimé ce livre, malheureusement passé presque inaperçu.
K. Benek est né en 1905 à Lodz en Pologne. Réfugié à Paris après la guerre, il travaille et passe son temps libre à écrire en yiddish.
Dans ce livre paru en 1957 et traduit en français en 2020 par Serge-Alain Rozenblum, il met en scène dans des nouvelles, le petit monde juif de Paris.
Son écriture est simple, lumineuse et surtout pleine de tendresse pour ces gens du Pletzl, ballottés de pays en pays, survivants mais capables de rire.
Il réussit à transmettre l’atmosphère d’un quartier juif et populaire, avec tendresse et humour.
C’est la petite histoire dans la grande qu’il nous raconte.