C’EST UNE JOIE POUR MOI D’AVOIR DÉCOUVERT DANS LE YI-KING UN TRAITÉ DE CARACTÉROLOGIE HUMAINE, UNIVERSELLE, EN DÉPIT DE LA SPÉCIFICITÉ DE L’ADMIRABLE CULTURE CHINOISE.
DONC IL Y A BIEN QUELQUE CHOSE D’UNIVERSEL AU PLUS PROFOND DE L’ÊTRE HUMAIN EN DÉPIT DE LA GRANDE SÉPARATION ENTRE « RACES » « BLANCHE » ET « JAUNE » DES ENVIRONS DE DEUX CENT MILLE ANS AVANT LE CHRIST.
LA DIVISION DE L’ESPÈCE HUMAINE EST À LA MODE, IL N’EST PAS MAUVAIS DE REPARLER DE SON UNITÉ.
MAIS UN PROBLÈME MÉTHODOLOGIQUE DE TAILLE SE POSE : JE NE PEUX INTERPÉTER LE YI-KING QU’À CONDITION DE NE PAS LE CONNAÎTRE. SI J’EN SAIS UN PEU PLUS, J’ÉCRIS LES HEXAGRAMMES EN CONNAISSANCE DE CAUSE, JE LES DÉFORME INÉVITABLEMENT. SI JE VEUX CONTINUER, JE DOIS UTILISER LE SORT COMME FONT LES CHINOIS, PAR EXEMPLE AVEC LES FAMEUX BÂTONS D’ACHILLÉE.