Petit retour sur ma petite histoire de la philosophie

Un redressement moral a été proposé philosophiquement face à la crise de la Cité ( si grave qu’elle devait en mourir ), sous la forme du stoïcisme et de l’épicurisme.
Mettons en valeur un point : à force d’insister sur le déterminisme, le stoïcisme finit par mettre en avant le destin, en latin « fatum », dans une manière de fatalisme, une position que je suis tenté de nommer « stoïciste ».
A force d’insister sur la liberté personnelle, individuelle, l’épicurisme a glissé vers ce que nous appelons d’habitude les positions épicuriennes, éprises de plaisirs divers, loin du rigorisme quasiment de yogi ( sans le fond religieux, mystique et gymnastique ! ), cher au fondateur et que j’appelle volontiers « épicuriste ».
Les postures stoïcistes sont une exagération, les épicuristes sont un retour au fondateur, peut-être exagéré.
Rappelons que les positions cosmologiques sont un retour à la fondation, le grand Etre d’un côté, les atomes de l’autre.

N.B. : Cf. le 6/08/2015