F.A.N.55

Tu adores la coupe et les lèvres
Rien ne se fait bien dans la mauvaise fièvre
La Coupe t’attend et t’attendra
Elle te donnera la splendeur de la vérité
Rien ne suffit en soi-même à soi seul
Nous n’avons pas affranchi les esclaves de leurs désirs
L’Äme pousse les hauts cris du haut de la montagne
Seuls un aigle une marmotte l’entendent
Les ombrages ont été retirés de la prairie
Les oiseaux ne font plus leur nid
Le vent la brise font la leçon
Aux vaillants voyageurs
Qui cherchent dans la nature humanisée
Le naturel
Ils entendront les cris de l’Âme
Le naturel