Nous réduisons tout à l’unité. Elle se dérobe, se dissimule, est définitivement occultée. Par facilité, nous aimons un monde bidimensionnel, une image plate, éventuellement mouvante, sans doute facile à déchiffrer. Vive la profondeur, la troisième dimension ! Le mouvement prend toute son ampleur, mélange les lignes, ajoute le désordre, lié au sexe, à la naissance, à la beauté, mais aussi à la maladie, à la mort, à la laideur…
Nous tous, tels que nous sommes, nous mêlons savoir, morale, émotion.
Liberté, égalité, c’est beau et contradictoire. La liberté, individuelle et collective, trouble, menace l’égalité, elle-même complexe, affectée par l’inégalité des talents. La fraternité, couronnant le tout, devrait établir l’harmonie.
Dans un autre ordre de valeurs, la foi, la charité ( l’amour ), l’espérance mélangent leurs grandes capacités, en particulier dans le christianisme.
Pour parler autrement, sur un autre plan, Etre + Devoir-Etre + Beauté de l’Etre = ?, le secret, le mystère de nos existences.