Nous prîmes le train jadis pour rentrer d’Espagne en France
Nous trouvâmes place dans un wagon de troisième classe
Nous étions assis à côté d’un couple de prolétaires espagnols
Qui retournaient dans leur terre d’exil
Ils avaient un beau bébé
La dame alliaita longtemps son fiston
Dévoilant sans honte une belle poitrine
Plus jeune que son visage
Puis le reposa dans son petit berceau
Elle n’oublia pas de lui caresser le zizi
Le bambin en sourit d’aise
Les mères apprécient que leur fils soit bien monté
Les femmes réunies rient de bon coeur à la vision du phallus