Le ciel s’emplit d’un vin de nuées
L’encens craque sur les charbons
Dieux de la mer et esprits des monts
Planent sur mon étroite natte
Le bois d’amour est sculpté
D’un phénix d’or dansant
Tu pinces une corde magique
Lorsque les lutins mangent
Pourquoi se taire ?
Que la déesse s’irrite ou pas,
La prêtresse grimace *
* LH 189