Pz 51

Je chevauche un tigre jusqu’au bord du monde
L’éclat de mon épée illumine le vide
Et bleuit le ciel
Je ne veux pas fouetter le soleil
La cendre d’hier retrouve aujourd’hui
Saisi d’ivresse le dragon oublie la perle de nectar
Entonne le chant d’une atroce beauté
Les sirènes sont pur parfum
On dit qu’il est une déesse de beauté
Ses larmes agrandissent les yeux ivres