Hc 143

J’ai du plaisir à mon oisiveté
Au milieu de l’épaisse mousse verte
Et des arbres verdoyants
Dans ma demeure de l’homme sauvage
Un livre à la main
Tandis que le brûle-encens embaume
Mes sentiments sont sereins
Qu’on ne me dise pas que je n’ai rien à offrir
A l’invité qui se présente
J’ai une tasse de thé impérial
D’avant la pluie des semailles