Le poète est à bord de sa jonque
J’aime les chants que l’on piétine
Pour mieux les entonner
Le tao subsiste jusqu’au bout
D’autant plus qu’il n’y a pas de bout
Les dragons crient dans l’eau
J’aime bien le nom de la montagne
De la marmite renversée
Rien n’est illusoire tout est illusion
Que sait-on du désordre des hommes ?