Pz 127

Le vent souffle je ne le comprends pas
Les vrais chemins n’ont pas de fin
Même profonds les ravins du coin
Se remplissent d’éboulis
Les torrents se noient sous la verdure
Les mousses sont glissantes surtout par temps de bruine
Les pins n’attendent pas le vent pour murmurer
Même mes chemins ont une fin
Qui pourrait échapper à mes soucis
Et s’asseoir avec moi sur un petit nuage blanc ?