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Rares sont les hommes qui chevauchent les tigres
Tel celui-là qui parcourt les bords du monde
L’éclat de son épée illumine le vide
Qui en bleuit Le nouveau pilote de l’azur
Irait jusqu’à fouetter le soleil
La cendre ultime des temps dispersés
Se retrouvera aujourd’hui
Une perle de nectar dans la gueule du dragon
Le chant du champ fleuri est d’une atroce beauté
Les larmes agrandissent les yeux ivres