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Le Vieux et sa chamade ont nourri mille morts
Les pêchers en ont rougi
La robe de mon cheval est étrange et verte
La brume se mêle toujours au printemps
je ne veux pas lever le coude
Pour que les héros rencontrent les maîtres
Le prince prodigue enfanté par la soie
Répandra sur les terres tout le vin du monde
Les cheveux morts abandonnent les peignes
Je sais à présent ce que masque l’âge de vingt ans