Pz 180

Les petits esprits se lissent pour s’envoler
Ils s’agrippent à leurs préjugés
Le principe est transparent il n’est pas évident
Le tumulus est planté de fanions
La cascade plane sur les flots qui se fendent
J’en oublie la cité suspendue
Délivré de l’amour banal de nos contrées
J’accède au sublime de l’esprit
Je gravis d’inaccessibles parois
Je deviens juste inaccessible