Pz 195

Le vent emplit l’oeil de printemps
La ténèbre jaune des saules me tue
Nait un souffle de bambous
Pures comme l’eau dansent
Les chemises renaissantes
La lumière et le vent
Sollicitent les orchidées
Les oriflammes adoucissent
Le chemin des murailles
Les fleurs mortes sèment l’automne