Cc 115

La brise apporte la splendeur printanière
Les saules reverdissent
Mon regard plonge dans l’eau libre
Je ne suis pas effrayé par la neige sur mes tempes
Chaque instant du temps qui passe
Est un moment de grâce
Il n’y a pas de limite
Aux réjouissements du printemps
Sauf mon âge hélas cette horrible fatigue
Qui a commencé par mes jambes