Cc 126

Je vogue je navigue sur le courant limpide
La montagne sauvage est luxure
Les pauvres gibbons poussent des cris plaintifs
Le Tao quitte l’auberge pour retourner
A sa demeure originelle
Je traverse ce qu’on appelle la montagne des huttes
Parce qu’il y a quelques hôtes de branchages
Le vent cinglant apprécie les matins calmes
Les oiseaux sont joyeux
Je saluais jadis le vieux à la bêche