Jeune j’adorais lire
Si je comprenais ce que je lisais c’était la joie
J’aime regarder les arbres croiser leurs ombrages
J’aime retrouver la saison en écoutant les oiseaux
Je me prenais pour des hommes d’époques différentes
Mes connaissances restaient superficielles
En vieillissant j’ai renoncé à courtiser à louvoyer
Ce passé lointain est flou maintenant
Je m’affaiblis Je me détériore
Je crains fort que mon terme n’approche