Nous désirons sincèrement que la beauté s’affirme
Le rosier ne doit plus mourir
Quand périt la fleur qui fut épanouie
Son souvenir est déjà dans son tendre héritier
Qui se fiance à lui-même
Exaltant l’éclat de ses yeux
Nourrissant la flamme de sa propre substance
Favorisant la famine là où régnait l’abondance
Ne soyons pas gloutons ménageons notre monde
Comme s’il était une fleur