Avertissement

Les sept poèmes anglais et allemands que je viens de translater sont dus à l’anthologie présentée par Stéphane Hessel, notre ami à tous : « O ma mémoire – la poésie, ma nécessité », Seuil, Paris, 2006.
Je me suis demandé si le goût de Stéphane pour Apollinaire ne venait pas en partie des accointances allemandes de celui-ci, Hessel étant lui-même né à Berlin.
Stéphane Hessel parle avec émotion de son père Franz Hessel. Je voudrais bien savoir dans quelle mesure ce père a servi de modèle à Jules dans le célèbre film de François Truffaut : « Jules et Jim ». Le poème de Franz sera le huitième dans ma série de translations.