Vous êtes à mes pensées comme la nourriture à la vie,
Ou comme les averses à la saison-douce sont pour le sol ;
Et pour votre propre paix je me bagarre
Comme un avare et sa richesse :
Maintenant fier comme un jouisseur
Puis se doutant que l’âge fripon volera son trésor ;
Maintenant comptant pour le mieux d’être seul avec vous,
Puis amélioré à l’idée que le monde peut voir mon plaisir ;
Parfois tout rempli de fêter à votre vue,
Et de ci de là clairement mourant de faim pour un regard ;
Possédant ou poursuivant aucun délice
Qui ne soit ou ne doive être tiré de toi.
C’est ainsi que jour après jour je pinaille et me gave,
Ou tout m’est gourmandise ou rien.