Dis que tu m’as abandonné pour quelque faute
Et je commenterai cette offense ;
Dis que je suis un paralytique et je suis paralysé,
A tes raisons n’opposant nulle défense.
Tu ne peux pas, amour, me disgracier, à moitié malade,
Pour mettre une forme sur le changement désiré,
Comme je me disgracie moi-même, en sachant ta volonté.
Je ferai se rencontrer étranglement et étrange apparence,
Être absent de tes promenades et dans ma langue
Ton doux nom aimé n’habitera plus
De sorte que, moi, trop profane, j’agirai mal
Et trahirai notre vieille relation.
Pour toi contre moi je souhaite débattre
Car je ne dois jamais aimer celui que tu hais.