Quelle douceur donnes-tu au péché ?
Celui qui souille comme un ver la rose la plus odorante
La fleur de ton renom
Ah ! Dans la douceur tes fautes sont encloses
Cette langue fait le récit de tes jours
De tes amours lascives
Elle te déprécie pour te donner de la valeur
A lui seul ton nom bénit une renommée
Quel noble palais pour tes vices
Il y ont élu domicile
Tout ce qu’on peut y voir est gracieux
La beauté y cache les taches viles
Il faut ménager cet immense privilège
Le fer le plus dur s’émousse à se mal employer