Vous êtes si prévisible
Que le monde d’à côté parait mort
Votre amour sature l’impression
Qu’un vulgaire scandale m’imprima
Vous me traitez bien ou mal
A votre gré
Vous êtes tout mon monde
Je dois le connaître dans votre langue
Dans cet abysse si profond
Il y a d’autres langues que celle de la vipère
Car la critique et la flatterie sont bloquées
Je me dispense de ma négligence