La nuit approuve ses petites-filles
Les Parques qui limitent à leur gré la vie
Lorsque les hommes accèdent à la lumière
Ils ont droit à des jours heureux
A des jours malheureux
Les Parques redoutables sont toujours en colère
La nuit se réveille de son sommeil funeste
Pour encourager la vengeance qui n’en finit pas
Et aussi le mensonge
Ce qu’on sait moins c’est que la descendance de la nuit
Est nombreuse
La vieillesse certes mais aussi la tendresse !
La haine violente odieuse
La peine la douleur la souffrance
Tout cela ruisselle de pleurs
Les meurtres et les massacres s’en viennent inexorables
N’oublions pas la tendresse nocturne