Les tziganes jouaient une valse étrange
Les arbres étaient bleus d’autres violets
Vous me parliez d’amour mon amour
Vos mots devenaient une chanson
Une valse lente
La valse tzigane stimulait le printemps
Vous me parliez d’amour
Vos mots courts ponctuaient le silence
La gravité était tendre
Votre voix chantait sur des violons imaginaires…
Plus un soir est doux plus il répand le doute …
Sur la valse lente vos mots étaient aveux
Une minute paraissait de feu…
Le jardin était plein d’une joie de réclame…
La musique ardente égrenait des notes et des pleurs