Donner et danser sans peine
Tout trésor dans tes mains profite au monde
L’empereur ne vaut rien sans ses fidèles
Un incendie général nous menace
Ce qui se fait se défait
Le dragon diapré aux écailles d’or
Attend seul l’orage *
Je vous tiens quitte des espaces éthérés
Vous ne pouvez pas garder prisonnier l’écrit
Il vole il est volage
Mais vous avez pour l’instant château
Avec forêt chasse et pêcherie
L’idéal des femmes sera celui des hommes
Il devient l’idéal humain
* Le dragon, les mères, autant d’images que je dois au « deuxième Faust » de Goethe…