PCE 17

Nos adieux lentement à coup sûr nous mènent à la terrasse
Du temple-palais
La terrasse est sublime
Fleuve et plaine s’enténèbrent au loin
De jolis oiseaux reviennent à la nuit
Voyageur au départ infini comme la plupart des départs
Vieil ami tu es invisible
Les fleuves se déversent dans l’océan et dans les océans-mers
Les paysages sont pleins
Je suis peut-être le secret que tu pourchasses à ton insu
Peut-être pas