Divers commentateurs :
Une histoire rocambolesque, abracadabrantesque : le petit Guy Dhoquois s’est arrogé le droit d’intermêler deux mondes religieux qui a priori n’ont rien en commun.
Nous voulons dire d’un côté la Chine, le taoïsme, son fondateur Lao-tseu, son livre sacré, le Tao-Te-King ( VI° siècle avant le Christ ).
De l’autre la Lithuanie, le judaïsme, le mouvement mystique du hassidisme, ses grands rabbis ( principalement à partir du XVI° siècle de l’ère chrétienne ).
Un seul exemple : Les juifs ont fondé le monothéisme, les Chinois affectionnent leur tradition, le syncrétisme entre taoïsme, confucianisme, bouddhisme.
Réponse de Guy Dhoquois :
Les religions n’échappent pas à l’histoire scientifique. Il y a quelque chose de fascinant à essayer de comprendre les diverses sensibilités qui ont marqué l’histoire de l’humanité.
Ma méthode aujourd’hui consiste, sans prétention scientifique, sans prétention dogmatique, à faire parler des textes en effet très différents, de façon laïque et imaginative.
Une remarque : Le « sage » Lao-Tseu, figure légendaire, aurait fondé une « sagesse » qui est devenue par la suite une « religion » ( VI° siècle avant le Christ ).
Les Juifs de Lithuanie ont tiré d’une « religion » fondamentale une « sagesse » à aspects mystiques.
Ma présentation n’est pas faite de traductions, ni même de translations, mais plutôt de premiers commentaires.