Nous tenions la vie pour folie
Nous la tournions en dérision
Nous en faisions un objet de blâme
La mort était misérable
L’espoir de l’impie était un fétu emporté par le vent
Le sage prend pour armure son zèle
Les grêlons seront pleins de fureur
Quand une flèche sera lancée
L’air divisé reviendra sur lui-même
La forfaiture renverse les trônes