La montagne est vide
Sauf d’échos
Les rayons du couchant
Touchent les mousses
Personne en vue
Des voix résonnent
Dans le bois profond
L’ultime éclat est vert
Au bout des branches
Dans la montagne
J’aperçois le logis
Près du torrent
Autour des fleurs de magnolias
Ouvrant leurs rouges corolles
Tout est calme et vide
Sauf l’araignée tissant