Ces quelque vers ont été inspirés par André Fontainas d’avant et après 1900 :
Lorsque tu t’en revins du pays magnifique
Tu égrenais tes souvenirs ainsi qu’en un collier
Tu disais l’avril ardent en ces terres oubliées
Au bord des mers heureuses
Hantées par des géants
L’air libre de la nuit épanouie
Ah ! L’air libre !
Ah ! Les joies des avrils parfumés !
Miroir d’astres en la démence des sortilèges
Vive le temps !