J’ai aperçu l’être
Il n’a pas voulu de moi l
Lamentable habitant de l’Être
Voué à l’existence
La mort n’a pas encore voulu de moi
Bonne camarade elle me souffle sur l’épaule
J’étais constipé la diarrhée me menace
Je suis sûr de mourir dans un flot de feuillage
L’eau du miroir n’est jamais troublée
Par de fugitifs émois
L’azur est implacable
Ma demeure est obscure et fraîche
L’été a des joues rouges
La nature en feu a les seins haletants
Tu laisses ta chanson interrompue
Tu n’es pas un roi mage