A la fin du XIX° siècle la sensibilité d’Ephraïm Mickhaël fut mélancolique :
Je préfère aux nymphes antiques
Le corps dansant des filles de Paris
Sautillant trottant
J’aimais les froufrous des femmes
C’est dans les temps de tristesse secrète
Que je regrette je ne sais quoi
Ce n’est quand même pas les statues
Qui font semblant de sourire
Et restent de pierre même languissantes
Je veux être moderne résolument moderne
Si je veux ce que je veux