Hommage à Tabureau ( 2 )

Etendu mollement sur un lit
Toute une nuit
Tout près de ton giron
Ma jolie nymphette
J’ai osé batailler de ma languette
Je prenais goût pendu à ton cou blanc
A la rondeur fermelette de ton sein
De ta cuisse grassette
Je me glissais sur toi
Lentement éperdu
Déjà je pensais jouissance
Quand te défendant d’une aigre résistance
Ton refus félon me doucha froidement
O moi chétif émule de Tantale
Je reste pâle je me meurs béant
Auprès de ton séant
Que j’ai crû mon repas