Hommage à Flamant

Revenons aux débuts, à la fin du XV° siècle, avec Guillaume Flamant :

Poison pire que mortel
Me feras-tu crever le coeur ?
Poison pire que mortel
Qui me tiens en une tutelle
Telle que je n’ai ni force ni vigueur
Envieuse et fausse querelle
Plus pute que ne l’est maquerelle
Trop me plains de votre rigueur
Où est Satan mon gouverneur
Qui ne vient pas quand je l’appelle ?
O folie infernale fureur
Diables pleins de toutes les ruses
Me ferez-vous crever le coeur ?