Le fabuliste inconnu ( 145 )

Un oiseau gémissait sur son sort si funeste
Sa compagne était partie
Son nid restait vide
Il finit par s’envoler à tire d’ailes
Peu après un autre oiseau prit sa place
Et convainquit sa compagne
D’y couver à l’aise
A toute chose qui parait simple
Il faut de l’ombre et du mystère