Le fabuliste inconnu ( 166 )

La terre est aride desséchée
Pourtant un pré est fertile
Tout ailleurs est morne silencieux stérile
Ici s’ouvre un asile pour l’oiseau quelques arbres
Tout y est vert même au comble de l’été
D’où vient cette rosée
Qui tombe en gouttelettes ?
D’une source tapie dans la verdure
Une seule source