Un chasseur abattit un daim
Puis le faon
Qui ne quittait pas sa mère
Un sanglier se précipitant
Sur son chemin habituel
Il le tua aussi
Enfin avisant une perdrix
En promenade
Il la tua
N’ayant qu’une petite gibecière
Il n’emporta que l’oiseau
Le loup mangea à sa faim le soir même
Et cacha les restes
Jouissons jouissons, c’est vite dit
Il faut penser aussi