Les lents océans s’étendent
Indifférents sur les bords malheureux
Libérés de la mort
Pour sombrer dans l’ennui
Enormes les voix chantent la malédiction
Arrachée à la gorge des bêtes monstrueuses
Nées dans les coeurs malades qu’elles dévorent
Afin que leur vie soit définitivement inutile