Théodore de Banville, XIX° siècle :
L’eau dormante des lacs bleus
Est le miroir des cieux
J’aime mieux les yeux de ma mie
Pour que l’ombre sourie
Un oiseau chante au bois
J’aime mieux la voix de ma mie
La rosée rompt le temps
La rose est un baiser
J’aime mieux les baisers de ma mie
O Gué
J’aime mieux les baisers de ma mie