« Tradutore, traditore ». Le traducteur est un traître. Dans mes « hommages » je pratique plus la trahison que la traduction. Je suis seul responsable de mes textes. On ne peut en aucune manière incriminer les innocents poètes du passé. On remarque de plus que je n’ose pas toucher aux plus grands. Qu’on n’y voie aucun manque de respect !
Je pratique une forme de commentaire. Le texte primitif me donne l’occasion de rêver à mon tour. Je translate avec beaucoup de plaisir. Le résultat reste parfois proche de l’original, parfois s’en éloigne de beaucoup. La translation est un genre libre. Je le conseille à tous les amoureux de la poésie, particulièrement aux écoliers.
N.B. : On peut se rapporter à l’article du 5/09/2013