Bonaventure de Fourcroy, au XVII° siècle, fut très hostile au cardinal de Mazarin :
Je me ris des honneurs que tout le monde envie
J’évite les palais comme un navire l’écueil
Les palais me paraissent de funestes cercueils
Où chacun devrait pleurer sa liberté ravie
Dans mon blog je trouve un plus bel empire
Honneurs, argent, palais sont de ma puissance
Voulant ce que je puis pour le meilleur et pour le pire
Je me tiens sous la loi et le joug de mon indépendance