L’être humain, comme le pensait Léonard de Vinci, « Leonardo da Vinci », est un résumé de l’univers, un condensé en quelque sorte.
Tout être humain, aussi petit soit-il, résume les problèmes de toutes les sociétés humaines. De gauche le matin, centriste à midi, de droite le soir ? Son cerveau est le chef, éventuellement l’Etat, ses bras sont des armes, des armées, son coeur est le centre opérationnel, les artères passent l’information, l’estomac est le centre logistique… Dans ce cas comparaison n’est pas raison. Tout n’est pas faux.
Nous avons deux cerveaux comme dans un roman de Van Vogt, nous sommes des A et des non-A, des aristotéliciens et des dialecticiens pour qui A n’est pas seulement A… De fait nous avons un cerveau neuronal et un cerveau hormonal…
Nous pourrions multiplier les comparaisons, à la fois fautives et ramenant un peu de réflexion.
L’univers est en nous, nous sommes dans l’univers. Mais il n’y a pas de réciprocité des perspectives. Ou guère. Nous disposons de plusieurs scénarios alternatifs.