Patrice de la Tour du Pin est du XX° siècle :
Les pays sans légendes sont morts de froid
Les solitudes s’étendent sans l’amour de soi
Les poètes suscitent des brouillards
Pour créer vague à l’âme et cafard
Un frisson inconnu même dans les cauchemars
Mène au pays des oiseaux sauvages
Ils suivent les vents qui changent sans cesse
Ils oublient qu’ils ne sont que de passage
Sous le gouffre transparent des étoiles
Le jour se lève Tu te réveilles innocent
Tu ne te souviens jamais de tes rêves