Depuis le XVII° siècle Paris semble abriter, en dépit de transformations gigantesques, des populations semblables. Au premier rang desquelles les pédants, les précieuses, les écrivains classiques, défenseurs du Bon Sens. Les pédants sont toujours nombreux, avec à leur tête l’inénarrable Finkielkraut. Malheureusement je ne vois pas les précieuses qui nous seraient bien utiles dans notre époque de vulgarité. Je ne vois pas non plus les défenseurs du Bon Sens. Pas de Molière, pas de La Fontaine, pas même de Bossuet. Il faut faire de la sociologie pour trouver les catégories manquantes. La France, ton talent fout le camp !
Il ne m’étonne pas que les pédants n’aiment pas la post-modernité, par exemple Koons. Elle les forcerait à réfléchir, à se remettre en cause, ce qu’ils ont oublié de faire depuis belle lurette.