On ne dira jamais assez à quel point l’éducation nationale est le roc, le socle de la nation. Elle tient toujours debout en dépit d’attaques nombreuses. Grâce à elle des millions de jeunes gens sont et se sentent français. Ils parlent notre langue tout en l’ornant à leur goût. La télévision, ses annexes vidéo et le sport complètent leur éducation.
L’essentiel de la formation dans certaines sociétés se passe dans ce qu’on appelle le monde, dans la vie sociale et d’abord dans la famille. Faute d’unité de la société, il convient de développer les activités péri-scolaires, de former les formateurs. C’est dans le péri-scolaire, initiation ludique au concret, que les valeurs des activités manuelles seront valorisées.
La base de l’instruction doit être classique. Apprentissage du français par sa littérature, des mathématiques par l’algèbre, de l’informatique, de l’anglais, de l’histoire, y compris civique, citoyenne, juridique ( les principes généaux du droit ), des sciences exactes… Les méthodes d’enseignement peuvent et doivent varier…
Ils serait bon que les classes d’âge soient partagées en groupes de niveaux différents, discipline par discipline, les meilleurs avec les meilleurs, les moins bons avec les moins bons sans désespérer ceux-ci grâce à un enseignement spécifique.
Spécialistes de l’éducation, les parents doivent intervenir le moins possible dans l’école, spécialiste de l’instruction, à laquelle de façon générale ils ne comprennent rien.
De l’éducation nationale dépend notre avenir à tous.
Est-ce parce que je suis un ancien enseignant que j’aime les enseignants ?